En plus de votre inscription gratuite, recevez également :
Le plan d’investissement adaptable qui a permis à nos clients de réaliser en moyenne +120% de plus-values en 2023.
(d’une valeur de 250€)Qui gagne et qui perd en bourse?
Êtes-vous du bon côté de la barrière ? Pour le savoir, découvrez les profils typiques des gagnants et des perdants du monde de la bourse.
Les perdants :
Les clients des banques ayant des comptes petits à moyens sont les dindons de la farce.
Ce sont eux qui rémunèrent tous les gagnants.
Eh oui !
Tout cet argent gagné doit bien venir de quelque part, il n’est pas créé !
Quand votre petite OPCVM gagne, la banque se sert au passage, mais quand elle perd, vous êtes seul.
La plupart des « boursicoteurs».
Spéculer au jour le jour est plaisant, voire addictif, tout comme le jeu.
Mais la maison gagne presque toujours lorsqu’on traite ce sujet en dilettante.
Les gagnants
Les banques et fonds d’investissement.
Leurs traders encaissent des commissions quand ils font gagner de l’argent à leurs clients, mais ne sont pas tenus de les rembourser quand ils leur en font perdre…
Leur profil est donc gagnant sur le long terme (sauf quand ils enfreignent la loi ou les règles internes de l’entreprise, cf Jérôme Kerviel ou Gordon Gecko 🙂 ).
Les market makers comme on l’a vu précédemment.
Les gros clients auront les moyens de se payer des gestionnaires avisés, et ceux-ci seront d’autant plus motivés à faire fructifier le capital.
Certains traders freelances et particuliers.
Ce sont les seuls dans la liste à réellement risquer leur chemise.
Parce qu’ils sont talentueux, disciplinés ou parfois chanceux, la bourse les rémunère voire les fait vivre.
Dans une transaction saine, il y a deux gagnants car il y a échange. Je fournis un service ou je livre un bien en échange de quoi je reçois une contre-partie en argent, en service ou en bien. Dans le système de la bourse, il faut distinguer les investisseurs des spéculateurs. Les investisseurs investissent leur argent sur le long terme dans une société à laquelle ils croient. Si la société grandit, les deux parties sont gagnantes. Les spéculateurs parient sur la hausse ou la baisse d’un marché. S’ils gagnent, c’est que d’autres perdent et s’ils perdent c’est que d’autres gagnent. Pour ma part, j’ai gagné et j’ai perdu en bourse en ayant une mentalité de spéculateur. Aujourd’hui, je préfère échanger mes services contre de l’argent ou d’autres services. Chacun est gagnant et cela me paraît plus sain et harmonieux. Gagner l’argent de ceux qui en perdent me paraît un système non-harmonieux qui implique d’écraser ses adversaires; acheteurs contre vendeurs ou l’inverse…
Bonjour Georges,
à chacun de trouver un style d’investissement en accord avec son profil et sa personnalité.
Cela dit, gagner de l’argent en spéculant ne veut pas dire « écraser ses adversaire », car les autres spéculateurs ne sont justement pas des adversaires : ce n’est pas une compétition…
Ce sont des gens comme vous est moi (du moins, ceux qui spéculent de chez eux) qui prennent des décisions bonnes ou mauvaises.
En bourse, c’est celui qui prend la bonne décision qui gagne de l’argent. Mais celui qui a pris la mauvaise décision est parfaitement conscient des risques et du fait que cela peut arriver.
L’argent ne fait que circuler d’un côté à l’autre et celui qui gagne aujourd’hui ne gagnera pas forcément demain : il y a trop de facteurs qui entrent en jeu.
De plus, les spéculateurs sont très utiles à la bourse : http://www.stradoji.com/speculateurs-pourquoi-ils-sont-necessaires-a-la-bourse/
Sans eux, les investisseurs ne pourraient pas aussi bien investir 😉
« Tout cet argent gagné doit bien venir de quelque part, il n’est pas créé. »
Alors c’est quoi l’effet de levier si ce n’est pas de l’argent créé? Il n’est le résultat d’aucune production, il peut être de X5 à X200 en fonction du broker, c’est du vent, un montant virtuel sorti de nulle part…
Nous comprenons à peine les techniques sophistiquées utilisées par les gestionnaires de ces tortueux fonds
de couverture (hedge funds) pour assurer des rendements supérieurs à leurs clients tout en se mettant des
sommes pharamineuses dans les poches. Ce que nous comprenons, par contre, c’est que ces gestionnaires ne créent
aucun bien, ne rendent aucun service réel à la population, n’apportent aucune contribution ni au développement
économique, ni à la croissance du produit intérieur brut. Ils n’augmentent d’aucune façon la richesse
collective, ils ne font que s’en accaparer une part substantielle en profitant des failles du système, en
utilisant leurs puissants moyens techniques et financiers pour siphonner un prélèvement régulier
aux fluctuations quotidiennes de la valeur des actifs financiers dont ils créent en bonne partie la direction du
mouvement sur lequel ils parient par la suite.
Vous me semblez bien énervé, mais je ne suis pas sur que ce soit justifié.
Quelques points de réponse :
– L’effet de levier, c’est un emprunt fait par le courtier à son client. Vous pouvez remettre en cause le principe de l’emprunt, mais c’est un autre débat…
– Les hedge funds ne sont pas que des fonds de couverture, et ils ne gagnent pas tous. Le siphonnage n’est donc pas si catastrophique, sans compter que dans le même temps cela crée un apport de liquidité au marché.
– Oui il y a des dérives. Mais la situation évolue dans le bon sens.
N’oubliez pas que la bourse c’est aussi un lieu de financement : sans finance, pas de développement économique.
Sans développement économique, pas de développement technologique. Sans développement technologique, être humain serait nettement moins intéressant.
D’accord avec vous sur les points évoqués, c’est juste sur votre phrase « l’argent n’est pas créé que je bug ». Un emprunt est une création d’argent.
Vous avez raison, l’emprunt génère de l’argent, mon affirmation était simpliste (un de mes tous premiers articles !)
Ce que je voulais dire, c’est que création monétaire ou non, il faut avoir conscience que bien souvent les pros cherchent à vous tondre.
Merci Sovanna !
Effectivement cela peut prendre beaucoup de temps. On peut maîtriser les fondamentaux rapidement, comme je l'explique dans mon livre, mais il faut beaucoup s’entraîner ensuite.
Pour ma part je continuerai d'écrire des articles les plus simples et les plus pertinents possibles, pour vous aider à rester motivé.
Sylvain
Bonsoir Sylvain,
Je suis ton blog depuis quelques semaines. En tout cas, le contenu est très pédagogique dont je note qu'il y a du "coffre" dans tes propos.
Concernant l'article,
Pour faire parti des gagnants et pas des perdants, il faut apprendre par soi-même ou sur le terrain et non sur le banc de l'école. Malheureusement, cela prend du temps (des mois ou des années) pour réussir en Bourse. Le tout est de persévérer.
Cordialement,
Sovanna Sek de GenY Finances.