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(d’une valeur de 250€)Privacy coins : comment exploiter les opportunités ?
Enchaînant faillite et effondrement d’écosystèmes entiers, l’ensemble du marché à perdu près de 66 % de sa valeur, soit des centaines de milliards de dollars évaporés. Ceci rien qu’en 2022.
Dans ce contexte, une catégorie de crypto-monnaies s’est montrée plus solide et intéressante : les privacy coins ou crypto-monnaies privées.
Dans cette nouvelle enquête, nous vous expliquons ce qui rend les privacy coins attrayants aujourd’hui, leur place dans l’avenir de la cryptographie et les tokens intéressants à suivre de près.
Ce que vous allez apprendre :
- Les privacy coins : la confidentialité au cœur des opportunités d’investissement
- Pourquoi les crypto-monnaies privées s’imposent sur le marché ?
- Quelles crypto privées sont susceptibles d’exploser ?
- Comment trouver les privacy tokens les plus intéressants ?
Les privacy coins : la confidentialité au cœur des opportunités d’investissement
A l’image des exchanges décentralisés, les privacy coins, ou cryptos privées, ont connu un regain d’intérêt en 2022.
Intraçable et non identifiable, ce type de jeton partage un point commun avec les DEX : l’anonymat.
Cette confidentialité dans les échanges cryptographiques représente d’ailleurs l’une des caractéristiques qui procure un sentiment de méfiance auprès des institutions.
En effet, ce type de monnaie échappe totalement aux restrictions, réduit l’auditabilité et empêchent tout contrôle de tiers.
Dernièrement, l’Union Européenne a étudié une proposition de loi visant à interdire les banques institutionnelles et les exchanges de proposer ces actifs privée.
Bien que cette loi ne soit pas encore votée, certains CEX (exchange centralisés) comme Huobi, ont commencé à délister ce type de crypto-monnaie.
Toutefois, au vue des évènements de la fin d’année 2022 avec la chute de FTX, les investisseurs cryptos ont démontré de plus en plus de méfiance à l’égard de la centralisation.
Ils sont désormais plus enclins à se tourner vers des solutions décentralisées et la confidentialité prend davantage d’importance.
Le Web3 insiste sur cette particularité pour satisfaire une volonté de maîtrise des données personnelles et de la vie privée avec un Internet libre et décentralisé.
Cette approche fait également sens auprès des entreprises qui affectionnent particulièrement les privacy coins dans un soucis de conservation des données sensibles.
Les privacy coins représentent ainsi une alternative intéressante pour préserver l’anonymat de leurs détenteurs et des transactions qu’ils effectuent.
D’un point de vue plus global, ils représentent l’essence même de l’intérêt des crypto-monnaies.
Dans ce contexte de tension des investisseurs, certains privacy coins ont surperformé le marché.
Monero (XMR), par exemple, a enregistré une hausse de 43 % entre Juillet et Décembre 2022. Sur la même période, l’ensemble du marché a chuté de 10 %, de même que le BTC qui affiche -14 %.
Encore plus impressionnant, le token de Monero n’a perdu que 14 % de sa valeur sur un an quand le BTC a perdu 59 %.
Plusieurs questions se posent alors :
- Comment expliquer concrètement ce phénomène ?
- Sur quelle crypto privée se positionner ?
- Comment trouver les privacy tokens les plus performants ?
Pourquoi les crypto-monnaies privées s’imposent sur le marché ?
La confidentialité : un élément central dans la finance du futur
Les crypto-monnaies existent dans un souci de décentralisation. Toutefois, décentralisation n’est pas toujours synonyme de confidentialité.
Dans leur structure, les réseaux blockchains fonctionnent comme des livres de comptabilité où chaque transaction est répertoriée et publique.
Chaque wallet devient ainsi traçable. A tout moment, une personne lambda peut donc en vérifier le solde et l’historique. Dans certains cas, il est même possible de connaître l’identité de son détenteur.
En d’autres termes, nous sommes passés d’un système très fermé, celui des institutions financières traditionnelles, à très transparent, celui des blockchains.
Il est indéniable aujourd’hui que les crypto-monnaies tendent à prendre des parts de marché aux organismes financiers traditionnels. Ces devises numériques visent, à terme, à remplacer les fiats ou, du moins, à devenir la norme en matière de paiement sécurisé.
Et l’anonymat, la maîtrise de ses propres données personnelles, la confidentialité, que deviennent-elles ? Cette situation provoque un conflit entre transparence et confidentialité.
N’existerait-il pas un compromis à ces deux notions ?
Les propos de Josh Swihart paraissent plutôt logiques.
Par analogie, personne ne souhaiterait pas que tout le monde puisse observer à tout moment les mouvements financiers de son compte bancaire ou le nombre de billets contenus dans son porte-monnaie.
Dans cette logique, les privacy tokens ont un rôle important à jouer de par leurs atouts d’anonymat et de confidentialité tout en respectant les justes règles dictées par les mécanismes de la blockchain.
Les mécanismes de confidentialité de plus en plus importants
Le dilemme entre transparence et confidentialité possède désormais deux solutions majeures.
Le Zero-Knowledge Proof (ZKP)
Le Zero-Knowledge Proof (ZKP) ou preuve à divulgation nulle de connaissance, est l’un des principaux mécanismes utilisés pour rendre possible l’anonymat dans les échanges cryptos.
Conceptualisé dans les années 80, c’est avec l’avènement des technologies blockchains qu’il est passé de la théorie à la pratique.
Il représente un élément essentiel permettant le développement des privacy coins notamment grâce aux protocoles ZK-SNARK.
Il s’agit d’une méthode d’authentification dans laquelle les parties n’ont pas l’obligation de révéler ouvertement des informations sensibles pour prouver qu’elles sont vraies.
En d’autres termes, cela signifie que si les informations sont vraies, aucun vérificateur non autorisé ne peut en savoir plus que ce fait.
Pour comprendre simplement ce procédé, les théoriciens du concept s’appuient sur l’exemple de la Grotte d’Ali Baba.
Dans cet exemple, deux personnes, Alice et Bob, se trouvent devant une grotte qui admet deux bifurcations : A et B. Les deux galeries se rejoignent au fond de la grotte par une porte à code.
Alice doit prouver à Bob (le vérificateur) qu’elle est bien en possession du code de la porte sans le dévoiler.
Bob attend devant la grotte pendant qu’Alice passe par l’une des deux bifurcations de manière aléatoire.
Une fois qu’Alice est en place, Bob entre dans la grotte au point de bifurcation.
Il annonce ensuite aléatoirement A ou B et Alice doit le rejoindre en empruntant le chemin annoncé par Bob.
Le vérificateur ne peut que croire Alice.
Cependant, si Alice induit Bob en erreur, ce dernier pourra arrêter le processus de vérification dans le cas où Alice ferait une erreur. Cela sera considérée comme une preuve de non-connaissance.
Cette image très simplifiée est donc la base du protocole de Zero-Knowledge Proof. Elle assure les vérificateurs que les informations issues d’une transactions sont vraies sans que ce dernier ne puisse en connaître les détails.
La Signature en anneau
Il s’agit du second protocole de confidentialité le plus connu, mais il s’avère le plus efficace.
Utilisée par Monero (XMR), la Signature Ring demande moins d’effort en termes de calculs et est donc plus accessible.
Ce protocole est relativement simple.
Une signature de transaction est endossée par quelqu’un dans un groupe de personnes spécifique de chaque côté de l’échange (émetteur et destinataire).
Ces deux groupes se composent généralement de centaines de personnes possédant chacune une clé. Ils fonctionnent comme des leurres permettant ainsi de masquer réellement d’où provient la transaction et où elle est censée arriver.
Pour illustrer cette mécanique, il est souvent mis en avant l’exemple de « La Maison Blanche ».
Une information importante a fuité du gouvernement américain et aucune source n’est identifiable. Ainsi, toutes les personnes travaillant au gouvernement qui étaient au courant deviennent immédiatement des suspects potentiels.
Aucune preuve ne peut incriminer une personne plus qu’une autre. De plus, plus le nombre de suspects est grand, plus les chances de trouver le coupable sont faibles.
Les suspects font partie de ce que l’on peut assimiler à une signature en anneau.
Quelles crypto privées sont susceptibles d’exploser ?
Monero (XMR), le leader
Monero (XMR) est sans doute le privacy token le plus connu du marché.
En effet, il fut l’une des premières crypto-monnaies à introduire la notion de confidentialité.
Elle se distingue des devises numériques classiques par le fait qu’elle reste totalement fongible.
De plus, contrairement à la plupart des privacy coins, Monero s’appuie sur le concept de Signature en Anneau pour assurer une confidentialité optimale des échanges sur son réseau.
Monero est donc un projet relativement unique, bien que des copies aient été développées.
La force de son réseau tient par son offre, mais aussi par sa communauté intelligente.
En effet, il a su évoluer grâce à elle, notamment par le développement conjoint d’outils de minage, comme CryptoNight puis RandomX, destinés à abolir la centralisation minière.
Cette ouverture vers le monde se retranscrit également par les cas d’utilisations de son token natif.
Le XMR, outre le fait d’être le jeton de récompense pour les mineurs, est utilisé pour effectuer des paiements en peer-to-peer, stocker de la valeur au sein du réseau Monero et payer les frais de transaction.
Ce jeton a pour objectif principal de proposer un moyen d’échange confidentiel pour des services ou des produits. Il s’assimile ainsi à la liquidité physique, fongible et intraçable, en suivant les règles établies par la blockchain.
Cependant, Monero a longtemps souffert d’une image négative car très utilisée par les hackers sur le Dark Web.
Par exemple, en 2020, une attaque sur Acer a donné lieu à une demande de rançon de 50 millions de dollars en XMR.
Il est évident que la confidentialité est également attrayante pour les actes frauduleux. Mais le cash n’a-t-il pas les mêmes problèmes ?
Cette image se dissipe peu à peu au profit de celle d’un token très utile dans le contexte actuel.
En juin dernier, le XMR a mis fin à une tendance baissière amorcée en mai 2021 tout en affichant des performances supérieures à celles du marché sur l’année 2022.
Il est intéressant de remarquer que le krash de FTX a été rapidement effacé. Le token XMR est repassé au-dessus de sa valeur d’avant krash alors que le reste du marché stagne depuis 2 mois.
D’un point de vue dominance du marché, le XMR n’a cessé de prendre des parts sur 2022, et ce, malgré un bear market très marqué et plusieurs faillites sur le secteur.
Il cumule à ce jour 3 milliards de dollars de capitalisation ce qui place le XMR dans le top 25 des plus gros projets cryptographiques.
Monero et sa crypto privée ont donc un avenir intéressant par leur utilisation concrète. Ils répondent à une problématique dans l’air du temps : l’anonymisation et la confidentialité, le tout dans un environnement sécurisé.
C’est d’ailleurs un point central qui séduit déjà beaucoup d’entreprises et tend à s’imposer de plus en plus auprès des particuliers grâce à des frais de transaction très bas comparés aux transferts bancaires.
Phala Network (PHA), la pépite
Phala Network, para-chain de Polkadot, a connu une année 2022 relativement agitée avec un pump impressionnant à + 200% sur octobre.
Certes, le cours du token est à la baisse dans sa globalité, mais pour comprendre pourquoi le PHA est intéressant, il est important de se pencher sur ses ambitions et sa construction.
Phala Network se positionne actuellement sur 3 rôles majeurs :
- La création de smart contracts anonymes, décentralisés, cross-chains et sécuritaires, appelés « phat-contracts » ;
- Un service Cloud sans permission, ultra sécurisé et à faible latence ;
- Des transactions anonymes et confidentielles à très faibles coûts.
Phala Network fait de l’anonymat et de la confidentialité son moteur principal par le biais de plusieurs offres de produits et services.
De ce fait, il entre ainsi en concurrence avec Ethereum et ses smart contracts, Google et Amazon avec son cloud et Monero en ce qui concerne les échanges anonymes.
Au cœur du projet, se trouve le jeton PHA qui entre en jeu dans l’ensemble de l’écosystème proposé par Phala Network.
Il est possible de le staker, d’exercer un droit de gouvernance, d’être récompensé pour son minage et d’utiliser tous les services de Phala Network grâce à ce token.
Ces cas d’utilisations sont donc très étendus, ce qui est un point très positif pour la valeur du token et le projet.
Concernant ses tokenomics pures, l’approvisionnement maximal s’élève à 1 milliard de jetons dont 45 % sont actuellement en circulation. La marge de progression reste donc très importante.
Sur ce milliard, 15 % ont été distribué durant une vente privée. Le reste est destiné à récompenser les mineurs. Cette forte incitation ajoute un aspect sécuritaire très prononcé autour du réseau.
Notons que le projet reste relativement nouveau puisque lancé en 2020. Il est encore loin d’avoir atteint sa pleine capacité.
Toutefois, sa progression depuis son lancement est intéressante. En témoigne l’adoption du token et le nombre croissant de holders depuis son lancement.
Le privacy coin PHA et son réseau Phala Network représentent donc un projet sérieux et ambitieux, de par la multitude de propositions de valeur qu’il présente.
Le token est un élément central du réseau, connaît une progression très intéressante et l’équipe du projet compte, parmi elle, des grands ponts de la technologie issus, eux aussi, de brillantes institutions comme Google, Tencent ou encore Bitcoin Gold.
DASH (DASH), le challenger
Le DASH, de l’acronyme « Digital Cash« , fait également figure de proue en ce qui concerne les privacy coins.
Historiquement, Dash a été créé sur les mêmes bases que le Bitcoin.
Son fondateur a cependant voulu améliorer le concept pour contourner les limitations de ce dernier notamment en matière de confidentialité et d’anonymat.
Sur l’année 2022, DASH n’a pas fait exception à l’ensemble du marché et a enregistré une forte perte de valeur.
Toutefois, sur les 6 derniers mois, le DASH est resté dans le sillage de BTC et de l’ensemble du marché.
De ce fait, il a affiché une certaine résistance face à des tokens qui ont complètement plongé.
Prenons les exemples de Cardano (ADA) et Solana (SOL). Figurant dans le Top 10 des plus grandes capitalisations, ces tokens ont décroché respectivement de 22 % et 28 %.
Après le séisme FTX, le privacy coin s’est rapidement affiché comme un token solide. Il a enregistré une hausse de 18 % contre seulement 8 % pour le BTC.
Pourquoi cette résilience ?
Tout d’abord, d’un point de vue purement graphique, le DASH a atteint des niveaux bas qu’il avait tutoyés à la fin du bear market de 2018/2019. Ces supports ont donc joué leur rôle et permis au token de se maintenir.
Ensuite, comme pour Monero ou Phala Network, le DASH possède une utilité très concrète et claire. Celle-ci se reflète dans son slogan : « De l’argent liquide numérique« .
Autrement dit, DASH propose une solution simple, à savoir le paiement de produits et de services du quotidien grâce à des crypto-monnaies privées, avec une option d’anonymat.
Une offre tout à fait similaire à du cash, avec des frais relativement bas, une grande accessibilité et des cas d’utilisation accrus.
De ce fait, bien qu’il ne soit pas un stablecoin et affiche une forte volatilité, il intéresse particulièrement dans les périodes compliquées.
Alors que les investisseurs avaient tendance à fuir les crypto-monnaies classiques, le DASH, comme le XMR, a fait figure de refuge.
Cette appétence pour ce privacy coin est également le fruit d’une stratégie de communication et marketing efficace. Les équipes de Dash et de la DashDAO n’hésitent pas à mettre les moyens dans les développements et les mises à niveau du réseau.
Dash se fait ainsi connaître du grand public par le biais de vidéos éducatives sur le monde des technologies blockchains tout en restant technologiquement intéressant.
Ceci bien que le niveau de confidentialité, basé sur le ZKP, soit moindre que celui de Monero.
Comment trouver les privacy tokens les plus intéressants ?
Les privacy tokens ont pour objectif de servir un degré optimal d’anonymat et de confidentialité dans les échanges cryptos.
Ils bénéficient actuellement d’un engouement certain.
Les différents acteurs du marché, qu’ils soient professionnels ou particuliers, tendent à se rapprocher de produits et services leur permettant de vivre leurs activités cryptos de la façon qu’ils le souhaitent, sans dépendre d’un tiers et de manière sécurisé (exchanges centralisés, institutions, etc…).
Ce manque de fiabilité et la dangerosité d’une trop grande centralisation nourrissent ce sentiment.
C’est d’autant plus vrai pour les entreprises qui traitent des données sensibles. Ce genre de problème peut alors être fatal.
Pour rappel, le géant Google a laissé fuiter 8 milliards de mots de passe d’utilisateurs en juin 2021.
Le privacy coins répondent ainsi à un besoin qui se développe. Ils dessinent l’avenir de la cryptographie et des échanges en ligne (Web3).
Des projets de stablecoins privés sont également à l’étude tant cette niche représente une opportunité dans le futur.
Cependant, la confidentialité est à la fois l’avantage et l’inconvénient de ces crypto-monnaies. Le faible pouvoir d’auditabilité reste leur plus gros point faible.
Ainsi, il est important de s’intéresser à l’ensemble du projet avant d’investir et trader.
« Qui sont les équipes ? » et « quels sont leurs parcours ? » sont les questions de bases à se poser.
Les tokenomics sont également très révélateurs comme pour la plupart des crypto-monnaies. Ils présentent la politique économique globale du jeton mais également ses utilités, des éléments cruciaux à analyser.
En effet, la croissance d’une crypto dépend de sa capacité à séduire ses utilisateurs et à évoluer de façon positive.
Ainsi, une marketcap faible avec des volumes très bas ne présage pas d’un projet très intéressant ou parfois mort.
C’est le cas par exemple de Bytecoin (BCN) dont la marketcap 4,5 millions de dollars seulement. L’équipe ne s’investie d’ailleurs même plus dans le projet à en juger la communication inexistante depuis plusieurs mois. En outre, ce projet n’avait rien d’explicite sur son offre.
Au contraire, Phala Network (PHA) est de plus en plus apprécié pour sa capacité à anonymiser l’ensemble des activités cryptographiques (échanges, transactions, stockage, etc…). Ceci grâce à des outils concrets et performants.
Les privacy coins les plus intéressants répondent à un ou plusieurs objectifs précis. Ces derniers détermineront son fonctionnement interne et sa viabilité sur le long terme.
Enfin, il est également important d’évaluer son évolution dans le temps.
Un acteur comme Monero a déjà fait ses preuves et constitue une valeur relativement sûre du marché.
Les privacy coins ont démontré leur résilience et l’intérêt que les investisseurs leur portent sur 2022, notamment sur les 6 derniers mois.
Ils reviennent aux sources de la cryptographie et permettent d’associer les avantages de la blockchain tout en offrant une confidentialité plus que jamais plébiscitée.
Avec l’avènement du Web3, les privacy coins devraient jouer un rôle très important et prendre ainsi de l’ampleur.