En plus de votre inscription gratuite, recevez également :
Le plan d’investissement adaptable qui a permis à nos clients de réaliser en moyenne +120% de plus-values en 2023.
(d’une valeur de 250€)Générer des revenus passifs crypto en 2024 : est-ce difficile ?
Les revenus passifs crypto ont longtemps été perçus comme une route dorée vers la liberté financière.
Mais en 2024, est-ce que cette perception reste pertinente ?
Du changement de paradigme dans les méthodes traditionnelles aux innovations simplifiant les investissements, analysons comment ces évolutions impactent la quête de revenus passifs.
Finalement, est-il possible que moins d’efforts conduisent désormais à plus de gains ?
Revenus passifs crypto : le changement de paradigme ?
Il y a encore quelques années, les attentes en terme de rendements étaient très élevés en ce qui concerne les investissements en cryptomonnaie.
Très vite, les investisseurs ont découvert des moyens innovants de générer des revenus passifs dans le secteur de la crypto et certains ont pu profiter de ces innovations.
Ces attentes sont toujours aussi élevées toutefois ces outils d’investissements passifs ne sont plus aussi accessibles qu’auparavant.
En voici quelques exemples.
Le minage : une activité qui n’est plus rentable
L’activité a considérablement évolué, passant d’une activité accessible et rentable pour les amateurs de technologie à une industrie hautement compétitive dominée par des acteurs puissants.
À ses débuts, le minage de Bitcoin, par exemple, pouvait être effectué avec un ordinateur personnel moyen et donc accessible à (presque) tout le monde, ce jusqu’en 2017-2018.
Cependant, avec l’augmentation de la difficulté (hashrate) et de la concurrence, le paysage du minage a changé.
Il nécessite désormais du matériel spécialisé comme les circuits intégrés spécifiques à une application (ASIC) et les unités de traitement graphique (GPU).
Ces développements ont conduit à la domination de grandes fermes de minage au détriment des « petits » mineurs.
Actuellement, la rentabilité du minage de crypto-monnaies est en déclin en raison de l’augmentation des coûts énergétiques et matériels, ainsi que de la baisse de la valeur de marché de nombreuses crypto-monnaies.
En France, cette rentabilité est même négative.
A titre d’exemple, nous avons simulé notre rentabilité sur CoinWarz qui est à la fois un simulateur et un site sur lequel vous pouvez acheter du matériel de minage.
Ainsi, en utilisant un matériel classique actuellement sur le marché et en prenant en compte le coût du kW/h en France, notre rentabilité s’élève à -18,23 $/jour (soit environ – 17€/jour).
Avant 2018, le minage était encore une aubaine et permettait aux mineurs lambda de générer des revenus passifs très corrects même en France.
Cela était notamment dû aux coûts plus faibles de l’électricité notamment.
Aujourd’hui, avec une (non) rentabilité comme celle-ci, il est donc devenu impossible de miner en France à moins de posséder plusieurs machine puissante, de mutualiser les investissements sur les coûts ou encore de délocaliser le matériel de minage dans les pays où l’énergie est moins coûteuse.
Le staking et la DeFi, des rendements insuffisants
Outre le minage, les investisseurs connaissent également des difficultés à générer des revenus passifs en crypto avec le staking.
Bien que les rendements peuvent être parfois attractifs sur certains tokens peu stables.
Toutefois, ils se révèlent souvent trop peu rentables sur des cryptos plus sûres.
Il en va de même pour la DeFi, où les rendements sont de moins en moins intéressants.
On le voit sur le protocole Aave, dédié au lending, les APY (rendement annualisé) restent très limités ces derniers temps.
Aussi, il semble logique que certains investisseurs préfèrent se tourner vers des actifs plus classiques, comme les actions qui confèrent des rendements similaires avec une part sécuritaire plus importante.
Les airdrops sont-ils toujours intéressants ?
Dans les options de revenus passifs, les airdops jouent également un rôle important.
Les airdrops représentent une distribution d’actifs numériques au public.
En d’autres termes, il s’agit de tokens distribués gratuitement par un projet.
L’objectif principal pour le projet est évidemment de se faire connaître.
Il permet aussi de récompenser les personnes qui ont soutenu le projet depuis le début.
Ces distributions se font sous certaines conditions.
Il peut parfois s’agir d’effectuer des actions sur un jeu, une plateforme ou la détention d’un autre token.
C’est une opportunité intéressante mais qui posent de plus en plus de problèmes :
- Le nombre de participants ne cessent d’augmenter
Cela réduit ainsi les chances de se voir attribuer des tokens gratuitement.
- Les conditions de participation sont difficiles
Il peut être souvent difficile d’être éligible à un potentiel airdrop.
En effet, pour les débutants, certaines actions peuvent paraître compliquées.
Les airdrops restent donc très souvent réservés aux experts.
- Les gains ne sont pas garantis
Si vous êtes sélectionné lors d’un airdrop, cela ne vous garantit en rien que vous dégagerez un gain substantiel sur la cryptomonnaie que vous avez reçu.
En effet, cela dépend de la qualité du projet, de l’utilité et la structure du token et plus globalement du marché.
Pour toutes ces raisons, on ne peut s’appuyer uniquement sur les airdrops pour générer des revenus passifs correctes.
Les opportunités existent toujours.
Toutefois, il faut être prêt à apprendre comment faire du staking, chercher les meilleures plateformes de DeFi, trouver les alternatives au minage afin de retrouver une rentabilité perdue, dénicher les airdrop à fort potentiel, etc…
Ainsi, générer des revenus passifs rentables demande beaucoup de temps, parfois un investissement important et un travail colossale.
Pour autant, les choses n’ont-elles pas évolué ?
Crypto 2024 : Vers la simplicité ?
Devant ce constat de complexification de l’investissement passif sur les cryptomonnaies, on assite depuis quelques mois à l’émergence de nouvelles solutions.
Ceci dans tous les domaines qui entourent l’investissement passif sur les cryptos.
Désormais, les outils utilisés doivent être pratiques, ludiques et simples à mettre en place.
Pour revenir sur l’exemple du minage, des plateformes spécialisées ont eu l’idée de mutualiser les investissements sur le minage.
Avec de tels services, les coûts liés au minage sont donc lissés ce qui permet de dégager des bénéfices.
Les investisseurs sur ce type de service obtiennent par la suite un pourcentage de ces bénéfices.
Ceci sans aucun effort et avec une certaine sécurité.
Cette simplicité se retrouve également dans le staking.
Le principe est simple.
Des sociétés proposent aux investisseurs de déléguer leurs fonds aux nœuds qu’ils gèrent, puis de récupérer une partie des récompenses que ces nœuds auront générés.
C’est une méthode simple et efficace de générer des revenus passifs sans même prendre de risque.
Ce type de service est loin d’être isolé.
En effet, il se répand même à différents domaines de l’investissement crypto.
En effet, depuis quelques années, on voit apparaître par exemple, des outils de gestion qui facilitent les déclarations fiscales vis à vis de l’investissement crypto.
Alors que c’était une affaire très compliquée voire même nébuleuse à l’époque, des plateformes se sont développées afin d’apporter davantage de clarté.
C’est le cas par exemple de Waltio, une solution d’assistanat fiscal dédiée aux cryptomonnaies.
Dans un autre registre, on peut également citer en exemple Bitstack et Stackinsat.
Ces plateformes offrent à leurs utilisateurs de mettre en place une épargne Bitcoin basé sur un modèle d’investissement DCA.
Concrètement, les achats en BTC se font régulièrement sans que les utilisateurs n’aient à faire quoi que ce soit.
Vous l’aurez compris, toutes ces plateformes ont pour objectif de faciliter l’investissement vers les cryptomonnaies et de générer des revenus passifs.
De cette manière, les utilisateurs génèrent des revenus passifs sans effort et sans passer par la case « apprentissage ».
L’avenir des revenus passifs crypto : Moins d’effort, plus de gains
Nous l’avons vu, l’âge d’or des revenus passifs à connu un fort déclin après 2018, jusqu’à aujourd’hui.
Ce qui marchait très bien à l’époque et permettait de générer un revenu passif crypto a demandé un changement de paradigme.
Ceci afin que les investisseurs chevronnés ou non puissent se positionner sur le marché des cryptomonnaies.
Un autre secteur a vu le jour mais a longtemps souffert d’une image dégradée.
Il s’agit des algorithmes d’investissements automatisés.
Ce type de solution existait déjà sur le marché des actions, du forex, et autres, avant que les cryptomonnaies ne soient tendances.
Ces algorithmes, aussi appelés « robot de trading« , avaient pour objectif de surveiller les marchés, prendre position automatiquement en suivant des patterns et des stratégies définies, puis d’assurer la gestion de ces investissements.
Cependant, des dérives ont amenés à une certaine méfiance des utilisateurs.
Depuis l’essor des cryptomonnaies, ces solutions font leur retour avec des acteurs bien plus sérieux que précédemment.
Leur objectif : simplifier et rendre accessible l’investissement sur les crypto-actifs tout en permettant aux utilisateurs de générer des revenus passifs.
Aujourd’hui, nous assistons à l’émergence de véritables algorithmes, avec des développements structurés et des stratégies pensées pour le marché atypique des cryptomonnaies.
C’est alors que le terme de revenus passifs et de « Moins d’effort, plus de gains » prend tout son sens.
Oui, générer des revenus passifs grâce aux cryptos est devenu compliqué.
Mais on assiste à l’essor de nouvelles solutions innovantes qui facilitent l’investissement.
Elles nous permettent ainsi de voir l’avenir sous un œil positif.