En plus de votre inscription gratuite, recevez également :
Le plan d’investissement adaptable qui a permis à nos clients de réaliser en moyenne +120% de plus-values en 2023.
(d’une valeur de 250€)La fiscalité en France. Partie 1/2 : comprendre
Si vous êtes ici, c’est que vous souhaitez augmenter votre patrimoine.
C’est nécessaire à bien des titres : profiter de la vie, préparer sa retraite, transmettre a ses enfants…
Cependant, la fiscalité actuelle peut être décourageante : à quoi bon si c’est pour tout se faire reprendre par l’État ?
Voyons comment se protéger des « missiles fiscaux » :
La fiscalité en France :
Le principe de l’impôt n’est pas à remettre en question (il faut bien construire des routes, des écoles, des hôpitaux…)
Cependant, il est important de comprendre que les procédés de collecte mis en place n’ont virtuellement aucune limite :
si vous n’opposez pas de résistance, l’État, sur une durée plus ou moins longue, vous prendra TOUT.
Comment ?
C’est simple, l’État ne se contente pas de collecter chaque année un % de votre revenu et dépenser la somme perçue à des fins sociales.
Il se sert à chaque étape du cycle infini de création de valeur :
- Une entreprise naît et embauche du personnel : l’État prélève des cotisations sociales.
- Elle vend un produit ou des services : l’État prélève sur les bénéfices réalisés.
- Les employés gagnent un revenu : l’État prélève l’IR.
- Avec la somme restante ils achètent des produits et services : l’État prélève la TVA sur ces achats.
- Ces achats permettent de faire vivre la société et de continuer à verser des salaires et embaucher : on retourne au début…
Cette liste d’exemples est loin d’être exhaustive.
On parle souvent des niches fiscales qui permettent de payer moins d’impôts, (en oubliant au passage que ces niches ont des raisons d’être : soutenir l’art, l’innovation, les déserts économiques…).
Mais on oublie que l’État a ses propres « niches » de collecte : tabac, alcool, essence…
Ainsi, si on laisse le cycle s’accomplir plusieurs fois, la ponction reviendra à chaque fois et le réinvestissement sera de plus en plus faible jusqu’à devenir nul : l’État aura tout pris.
Ce système fiscal n’est pas du tout le seul envisageable.
Mais c’est celui qui a cours en France et dans de nombreux pays.
Il faut donc bien comprendre que dès que vous gagnez de l’argent, un duel s’engage entre vous et l’État.
Il essaiera d’en prendre le maximum, et vous devez résister au maximum.
Ne vous inquiétez pas, sur la masse, il arrivera toujours à se servir suffisamment.
Le duel entre votre patrimoine et l’État :
En tant que citoyen non autonome financièrement, trois alternatives s’offrent à vous :
- Travailler et consommer
- Travailler et épargner
- Travailler et investir
Si vous travaillez et consommez (vous dépensez en biens de consommation courante tout ce que vous gagnez) vous serez faiblement imposé.
Il y aura une perception de 20% de TVA sur les achats, et c’est tout.
Vous n’aurez jamais aucun patrimoine et serez probablement obligé de travailler toute votre vie, car votre retraite sera insuffisante.
Si vous travaillez et épargnez (vous consommez moins et conservez le reste en liquidités, Livret A, épargne retraite…) vous serez moyennement imposé.
L’État fera des prélèvement sociaux sur votre épargne en plus de la TVA sur la consommation.
Lors de l’acquisition d’un bien immobilier et de la transmission du bien, il se servira grassement.
Vous aurez une petite retraite à l’âge prévu (environ 65 ans) et un faible patrimoine à transmettre.
Si vous travaillez et investissez , (vous consommez peu et allouez de manière intelligente et dynamique votre argent dans des placements) vous serez fortement imposé.
L’État se servira brutalement sur les plus-values réalisées, vos revenus seront imposés de manière proportionnellement grandissante (5.5%, puis 14, puis 30, puis 45…)
Quel est le but de cette « réponse répressive graduée » ?
VOUS DÉCOURAGER DE CRÉER DU PATRIMOINE.
Pourquoi ?
Acquérir du patrimoine, c’est soustraire quelque chose au flux économique, donc à l’État, pour le faire sien.
Un peu comme créer une petite dérivation d’un fleuve pour remplir son étang personnel.
Ainsi, vous ne serez plus dépendant du fleuve, et pourrez même gérer votre petit microcosme économique : créer de la valeur pour vous même, prêter/donner à d’autres, etc.
L’État ne veut pas cela. Il ne veut pas que vous investissiez. Il veut que vous CONSOMMIEZ.
Pour deux raisons essentielles :
- Stimuler la croissance directe (profit des entreprises)
- Collecter de l’impôt (TVA, imposition des profits des entreprises..)
Vous remettez ainsi « dans le circuit » (circuit siphonné, je le rappelle) tout ce que vous gagnez.
Vous devez évidemment lutter contre cette incitation.
Votre mission va donc être :
1 – Travailler.
2 – Investir.
3 – Protéger.
Il existe de nombreuses façons de protéger son patrimoine.
Nous vivons dans une société qui base son pouvoir sur l’influence et la manipulation, et non dans une dictature :
par conséquent la porte reste ouverte pour ceux qui ont l’intelligence et la volonté de devenir autonomes financièrement.
Dans le prochain article, je vous parlerai de deux moyens simples à mettre en place pour protéger ses investissements en bourse.
Dans ma formation à l’investissement long terme (en mars) je décrirai dans le détail toutes les actions concrètes pour mener à bien l’alternative « Travailler et Investir ».
Effectivement l’état ponctionne dès qu’il en a l’occasion.
Il est vraiment important qu’ils y aient des réformes dans les temps à venir : baisse drastiques des dépenses publiques, baisse des salaires du gouvernement et contrôler comment les budgets sont dépensés.
Sinon je pense que la France ne fera pas long feux.
Pas tout à fait d’accord.
« Si vous travaillez et consommez, (vous dépensez en bien de consommation courante tout ce que vous gagnez) vous serez faiblement imposé. »
Si je gagne 100 000 € par an et que j’en dépense 110 000€ par an, je vais faire faillite mais je serais quand même imposé au taux maximal.
C’est un cas extrême.
Cordialement
Bonsoir,
Par conviction, l'Etat fera main basse sur notre épargne. Malheureusement, les épargnants vont se rendre compte quand ce sera trop tard. Le doublement du plafond des livrets défiscalisés en est la preuve car les futurs collectes serviront à financer en grande partie la dette publique.
Cordialement.